Dans sa vingt-troisième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, s’inquiète de la réforme annoncée de la fameuse Loi P-38 par laquelle le lobby policier entend arracher davantage de pouvoirs pour intervenir auprès de personnes en crise. Or, non seulement les flics continuent d’être sous-formés sur les enjeux de santé mentale, mais en plus les interventions policières en situation de crise donnent encore trop souvent lieu à des tragédies évitables.

Dans sa vingt-deuxième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, partage les résultats de sa petite enquête sur l’augmentation significative des budgets policiers dans les neuf plus grandes villes du Québec au cours des cinq dernières années. Dans le contexte des élections municipales, force est de constater que l’explosion des budgets policiers désintéresse malheureusement les politiques aspirant à prendre le pouvoir.

Dans sa vingt-et-unième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, dénonce le décès de Nooran Rezayi qui était âgé de seulement 15 ans lorsqu’il est tombé sous les balles du Service de police de l’Agglomération de Longueuil (SPAL), mais aussi le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI), qui continue à ne pas être du tout à la hauteur, ainsi que le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui déploie ses meilleurs enquêteurs dans l’espoir de tuer la sympathie populaire envers la jeune victime.

Dans sa vingtième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, revient sur le Projet Serment, l’enquête très longue et aussi très coûteuse du Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) sur l’épidémie de fuites policières à l’Unité permanente anticorruption (UPAC) ainsi que sur la conduite du Projet A, soit l’enquête de l’UPAC sur les fuites de l’UPAC. Loin d’être un phénomène isolé, les fuites policières sont en fait un pratique bien établie au sein des milieux policiers.

Dans sa dix-neuvième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, revient sur l’arrestation de quatre hommes, tous liés à l’armée canadienne, qui ont été inculpés d’infractions relatives au « terrorisme » suite à une opération d’infiltration menée par la Gendarmerie royale du Canada (GRC). L’affaire soulève des enjeux de surveillance numérique à l’heure où la GRC entends déployer davantage de flics infiltrés en ligne nom de la lutte contre « l’extrémisme violent à caractère idéologique ».